Quand tout a échoué… et que l’ozone réussit.
- van den Boogaerde
- il y a 4 jours
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Une solution naturelle là où tout le reste a échoué
Il n’est pas rare que les propriétaires d’animaux, après des semaines ou des mois d’essais infructueux, se tournent vers les soins à base d’ozone en dernier recours. Beaucoup témoignent être venus "par curiosité" ou "parce qu’on avait tout essayé". Et c’est justement là que l’ozone prend tout son sens : en apportant une réponse là où les traitements conventionnels n’agissent plus, ou plus assez.
Pourquoi ? Parce que l’ozone, sous ses différentes formes (gazeuse, huileuse, topique), agit autrement que les antiseptiques, les antibiotiques ou les antifongiques classiques. Il ne se contente pas de tuer les pathogènes : il restaure l’équilibre, il oxygène, il stimule. C’est une réponse vivante à des tissus en souffrance.
Ce que l’ozone a de plus que les traitements classiques
L’ozone (O₃) est une forme active de l’oxygène. Son action repose sur trois grands piliers :
Antiseptique naturel puissant : il détruit bactéries, champignons, virus, y compris ceux devenus résistants aux antibiotiques.
Stimulation de la cicatrisation : en favorisant la microcirculation, l’ozone nourrit les tissus en profondeur et accélère leur régénération.
Rééquilibrage de l’écosystème cutané ou podal : il ne traite pas seulement les symptômes mais agit sur le terrain.
Contrairement aux traitements ciblés, l’ozone agit de façon transversale : anti-infectieux, anti-inflammatoire, cicatrisant. Et tout cela, sans antibiotiques, sans cortisone, sans résidus.
Deux formes, deux approches complémentaires
1. L’ozone gazeux :C’est la forme la plus pénétrante. Grâce à un dispositif spécifique, le gaz est appliqué en "bagging" (enfermé autour du pied, de la patte ou du membre). Il peut atteindre des foyers infectieux profonds, là où les crèmes ou sprays n'ont pas accès. Indispensable dans les cas de pododermatites profondes, d’abcès récidivants, de crapaud, ou de pyodermites étendues.
2. L’huile ozonée :Elle prolonge l’action du gaz, avec un effet retard et protecteur. L’huile sert à apaiser, hydrater, et continuer le travail de désinfection sur les tissus fragiles. Elle est parfaite pour les plaies, les croûtes, les démangeaisons ou les zones sensibles.

Des résultats observés même en dernier recours
Certains cas semblent sans issue. Et pourtant, l’ozone donne des résultats, même face à des pathologies installées depuis des mois.Voici le témoignage d'une cliente dont le cheval percheron a été sauvé grâce au bagging :
Dernier espoir « Le bagging a permis de sauver le pied de mon cheval percheron qui avait un abcès à multiples récidives, qui s’est transformé en panaris…Le panaris a percé au bout de 3 séances, et nous avons continué jusqu’à écoulement total. »
Ce type de cas n’est pas isolé. L’ozone peut ouvrir une nouvelle voie thérapeutique quand les traitements conventionnels n’agissent plus.
Pourquoi attendre le dernier recours ?
L’ozone n’a pas vocation à remplacer tous les traitements vétérinaires classiques. Il peut, au contraire, venir les compléter. Mais ce qui est certain, c’est qu’il ouvre une voie nouvelle : naturelle, douce, efficace. Et face aux échecs répétés, il peut faire la différence.
En conclusion
Si vous êtes confronté(e) à une plaie qui ne cicatrise pas, à une infection récurrente ou à une pathologie cutanée qui résiste aux traitements classiques, l’ozone mérite toute votre attention.Car parfois, ce n’est pas "la dernière chance", mais juste "la bonne solution" qui arrive enfin.
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