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Pattes à jus chez le cheval : pourquoi elles récidivent en été – et comment l’ozone peut rompre le cercle vicieux

L’été est souvent redouté par les propriétaires de chevaux sujets aux « pattes à jus ». Entre humidité, chaleur et piqûres d’insectes, les infections cutanées localisées sur les membres, en particulier autour du paturon, semblent se réveiller... ou revenir en force. Pourquoi ces récidives ? Et surtout, existe-t-il une approche naturelle et durable pour en venir à bout ? Focus sur le rôle de l’ozone dans la prise en charge des pattes à jus, même quand elles s’accompagnent d’un œdème ou d’une lymphangite.

Comprendre la récidive estivale : un terrain favorable

Les « pattes à jus » sont un symptôme, pas une maladie en soi. Ce terme regroupe des lésions souvent suintantes, croûteuses, douloureuses, qui peuvent être liées à :

  • Une gale de boue (dermatophilose)

  • Une pyodermite bactérienne

  • Une mycose cutanée

  • Un œdème inflammatoire avec lymphangite

  • Une fragilité cutanée sur sol humide ou abrasif

En été, plusieurs facteurs viennent affaiblir l’intégrité de la peau :

  • La chaleur altère la microcirculation et diminue l’efficacité des défenses locales

  • L'humidité (rosée, arrosage, transpiration) favorise la macération

  • Le stress thermique induit une baisse de l’immunité, notamment cutanée

  • Le grattage ou le léchage amplifie l’irritation

Résultat : une porte d’entrée idéale pour les bactéries, champignons ou acariens.

Le cercle vicieux à éviter

Souvent, le cheval reçoit un traitement local symptomatique (désinfectant, antibiotique topique, corticoïde) qui peut temporairement soulager… mais laisse persister un déséquilibre de fond :

  • Peau fragilisée et kératine altérée

  • Barrière cutanée poreuse

  • Micro-infections profondes non éliminées

Et les récidives s’enchaînent, parfois jusqu’à générer un lymphœdème chronique, douloureux et handicapant.

Ce que change l’ozone : une approche naturelle, multi-cibles

L’ozone, qu’il soit sous forme d’huile ozonée ou gazeux via le dispositif breveté de Bagging, agit à plusieurs niveaux :

  • Antiseptique puissant, y compris sur les bactéries résistantes

  • Anti-inflammatoire local, sans effet secondaire

  • Stimulant de la microcirculation et de l’oxygénation tissulaire

  • Accélérateur de cicatrisation et de reconstruction cutanée

  • Respectueux de la flore cutanée et de la kératine saine

Cas clinique : patte à jus avec lymphoedème traité au Bagging à l’ozone

Nous avons récemment observé de très bons résultats sur un cas de patte à jus avec œdème marqué du membre (type lymphangite). Le propriétaire a utilisé le Bagging à l’ozone (15 minutes par jour, depuis 1 semaine) sur le paturon et le bas du membre, en complément de l’application de l’Ozone Super Guard sur les zones suintantes.

pattes à jus cheval de trait

Dès la première séance, la peau a montré une nette amélioration de l’aspect inflammatoire. Les suintements ont cessé et le membre avait visiblement dégonflé. Nous attendons la suite avec impatience, ce cheval est actuellement en cours de traitement.

Protocole recommandé (préventif ou curatif)

En prévention (chevaux sensibles, été) :

  • Ozone Mud Guard : 2 fois par semaine sur les paturons propres et secs

  • Brosser doucement, sans tondre

  • Insister sur les zones sujettes aux crevasses ou micro-lésions

En cas de crise installée :

  • Ozone Super Guard : 1 fois/jour sur les croûtes et lésions actives

  • Si œdème / boiterie : 1 à 10 séances de Bagging à l’ozone gazeux

  • Ne pas arracher les croûtes – les laisser tomber d’elles-mêmes

Conclusion : maîtriser les pattes à jus, c’est possible !

Les soins à base d’ozone offrent une alternative naturelle, non agressive et durable pour prévenir ou soigner les pattes à jus du cheval. En agissant en profondeur, ils permettent de sortir du cycle récidive/traitement et de renforcer la peau au lieu de simplement la désinfecter.

Et si l’été devenait enfin une saison de répit pour les chevaux à peau fragile ?

 
 
 

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